Festival OFF d’Avignon 2025
« Un voyage intérieur d’une beauté rare. »
— Brigitte Corrigou, La Revue du Spectacle (17 juillet 2025)
« Chaque “mot geste” que Shu Okuno valide est comme gravé dans une langue d’ailleurs pourtant portée par les souvenirs qui, dans chacun des six tableaux du spectacle, tirent sur un fil de soie invisible. […] Le corps de l’artiste est le réceptacle du souvenir et de la mémoire, auréolé d’une nette nostalgie poétique, mais qui embarque pourtant le public sous une fine neige mentale et feutrée. »
« These symbols slowly sink in… »
— Tom Corradini, FringeReview (17 juillet 2025)
"These symbols slowly sink in creating images that stay with us long after the play is over."
« Un coup de cœur ! »
— Anne Catherine L., RegArts (16 juillet 2025)
"Chaque détail y devient signifiant, chaque silence une respiration. La mise en scène, sobre et délicate, laisse émerger une émotion discrète mais palpable, portée par l’intensité du geste."
« Coup de cœur de VIVANT ! Beauté, pure lumière, accomplissement. »
— Patricia Gueperou, VIVANTmag (15 juillet 2025)
"Les mots me manquent, enfin presque, pour dire mon admiration. Ce spectacle est un miracle… Beauté, Pure Lumière, Maîtrise, Accomplissement. [...] Il mime avec force, puissance et intensité toute la gestuelle, propre au métier de tailleur. Son œuvre deviendra un vêtement. [...] À la fin, l’artiste est chaleureusement applaudi."
« On a beaucoup aimé ! » — La Terrasse, à propos de Blanc de Blanc
« Blanc de Blanc » a été sélectionné dans l’Avignon Sélection 2025 du magazine de référence La Terrasse, parmi 9 spectacles uniquement choisis sur plus de 1750 propositions (IN et OFF confondues)." Découvrez l’article complet
— La Terrasse (13 juillet 2025)
Blanc de blanc, un haïku visuel signé Shu Okuno
« Une merveille de délicatesse et d'épure. »
— Delphine Baffour
« Une belle pépite. Un moment de poésie rare et d’expression forte. »
— Nadine Eid, Les Arts Liants(10 juillet 2025)
"Le temps de Blanc de Blanc est celui qui nous laisse partir rêveur dans la trajectoire d’un avion qui rencontre les sphères, frôle les planètes et nous emmène dans sa main. C’est très agréable, d’une belle générosité et d’un doux optimisme."
« La beauté du mime et de l’expression corporelle »
— Patrick Denis, La Provence (8 juillet 2025)
"Shu Okuno, héritier de Marcel Marceau, a développé son propre langage dramatique, à travers la chorégraphie du geste et la simplicité de l’esthétique japonais. [...] Une histoire sans parole, haute en couleur."
« Une bulle de douceur dans un monde bruyant »
— Mathilde Pallon, Avignon et moi (7 juillet 2025)
"Ce spectacle vous fera l'effet d'une bulle de douceur et de légèreté dans un monde où le silence est parfois nécessaire pour entrevoir l'invisible."
Ce qu’on en dit à Paris (2025)
« Une merveille de délicatesse et d’épure. »
— Delphine Baffour, La Terrasse
"Shu Okuno reprend son merveilleux Blanc de Blanc, dans lequel il évolue seul en scène… La précision de ses gestes comme l’expressivité de son visage nous happent dans un univers d’épure et de poésie qu’enrobent avec bonheur les délicates mélodies de Jordane Tumarinson. C’est simple et beau comme le plus délicieux des haïkus."
« Une bulle de poésie portée par un merveilleux poète du corps. »
— Safia Bouadan, L'Onde Bleue
"Blanc de Blanc est une véritable bulle poétique. Shu Okuno, le poète du corps, restitue ses recherches esthétiques dans un seul en scène qui explore le fil de la mémoire à travers le geste. Une fresque intime, silencieuse, universelle."
« Une ode à la poésie du corps, un hommage à ceux que l’on ne voit plus. »
— Zenitude Profonde Le Mag
"Shu Okuno ne raconte pas une histoire, il la brode, point après point, avec le fil invisible de l’émotion."
« Un seul en scène sans mot, tout en gestes et en poésie… entre délicatesse japonaise et théâtre physique. »
— France Net Info, Caroline Marquet
"Blanc de Blanc revient avec une version 2025 enrichie, plus intense, plus lisible. Shu Okuno, héritier de Marcel Marceau, invente un langage scénique épuré. Entre folie douce, gestes suspendus et silence poétique, il touche l’universel."
« Shu Okuno nous offre un spectacle de mime qui laisse une large part à l’imagination. »
— Arts Culture Évasions, Léa Berroche
"Il décrit ici le quotidien d’un tailleur qui fait vivre un tissu de son atelier. Par ce biais, on suit la vie intérieure de l’artisan au cours de diverses situations."
« Pas un mot mais tout est dit. »
— Note Actu Parisienne, Jus Diego
"Mime d’une rigueur exemplaire, Shu Okuno déploie une technique incroyablement précise au service d’une poésie du quotidien. Un spectacle silencieux mais vibrant."
Autres citations sélectionnées (Instagram, blogs, presse en ligne)
- « Un bijou de délicatesse à découvrir sans tarder. » — Sortir à Paris
- « Une fresque intime et universelle, sans un mot. » — Beatrice Lise, @bouchine
- « Le plus beau des spectacles vus pour moi cette année. » — @nadege.zero
- « Un moment hors du temps à vivre ! » — @cathy_lit_et_sort_aussi
Ce qu’on disait à Avignon (2024)
« Une toile blanche peinte par les gestes, les silences et les souvenirs. »
— Manuel Piolat Soleymat, La Terrasse
“Dans un décor minimaliste, Shu Okuno donne vie à un monde « où seuls les gestes ont un sens, échappant au bruit pour émouvoir doucement les cœurs. »”
« Un ailleurs où le temps se rêve, suspendu. »
— Marie-Laure Barbaud, M La Scène
“Les sphères blanches, nimbées d’ombre et de lumière, façonnent une image de toute beauté – un paysage étranger peuplé de satellites mouvants à la perfection nue.”
« On en sortira mystérieusement apaisé. »
— Philippe Person, Froggy's Delight
“On n'ira pas jusqu'à dire que le spectacle de Shu Okuno a des vertus thérapeutiques. On en sortira pourtant mystérieusement apaisé, prêt à affronter les pires contrariétés de l'époque.”
« La magie opère et petits et grands sont conquis. »
— Paula Gomes, Théâtre Actu (Coup de Cœur)
“Ce spectacle unique et la prestation brillante et généreuse de Shu Okuno séduisent autant les enfants que les adultes. Un moment d’émotion, de grâce, et d’humanité silencieuse.”
« Un langage du geste dont la beauté rivalise avec la simplicité d’un haïku. »
— Jean-Michel Gautier, Reg’Arts
“Une scène blanche encombrée de ballons blancs, où un acteur dessine de ses gestes précis un univers poétique… Shu Okuno, digne héritier de Marcel Marceau, nous replonge dans un langage du geste dont la beauté rivalise avec la simplicité d’un haïku.”
« Dans un monde où parfois les mots saturent nos vies… »
— Fanny Inesta, Les Arts Liants
“La pièce « Blanc de Blanc »… nous offre un refuge de silence et de contemplation.”
« Muet d’admiration. »
— Pierre François, Holybuzz
“En entrant, on se dit que ça passe ou ça casse, et en sortant, on comprend que jamais cela n’aurait pu ‘casser’ – car Shu Okuno a su tisser une connexion profonde avec le public.”
“Il nous livre une véritable suspension poétique, se présente comme un haïku visuel, une toile blanche qui se dessine sous le geste sublime du mime.”
« Une conversation fascinante qui nous plonge dans l’univers unique de BLANC DE BLANC. »
— Thibaut Boidin, SPEED RADIO
« AVIGNON OFF 2024 : NOS 50 SPECTACLES INRATABLES »
— Le Bruit du Off