Maintenant, entre vous et moi, s’étend une toile blanche où les rencontres les plus simples sont parfois les plus belles.
« Blanc de Blanc » est une suspension poétique, un haïku sur une toile blanche qui se dessine devant le geste sublime du peintre mime, Shu OKUNO.
Dans l’apesanteur du geste, se peint l’art entre chaque mouvement.
Cette toile, au langage émouvant et silencieux, étire à l’infini la densité du trait pour applaudir la vie, faisant du geste la mémoire du vivant.
Ce spectacle puise son imaginaire dans des instants de vie les plus simples, qui nous transporte dans un imaginaire et nous rappelle avec bonheur à quel point la vie est précieuse.
Shu Okuno, héritier de Marcel Marceau, développe son propre langage dramatique, à travers l’art du mime et la simplicité de l’esthétique japonais.
Dans l’apesanteur du geste, se peint l’art entre chaque mouvement.
Cette toile, au langage émouvant et silencieux, étire à l’infini la densité du trait pour applaudir la vie, faisant du geste la mémoire du vivant.
Ce spectacle puise son imaginaire dans des instants de vie les plus simples, qui nous transporte dans un imaginaire et nous rappelle avec bonheur à quel point la vie est précieuse.
Shu Okuno, héritier de Marcel Marceau, développe son propre langage dramatique, à travers l’art du mime et la simplicité de l’esthétique japonais.
Pour tout public de 5 à 99 ans… qui sait garder le silence pendant 60 minutes.
Pourquoi "Blanc de Blanc" ?
BLANC DE BLANC : UNE SOMME DE BONHEUR À L’ÉTAT PUR !
Blanc de blanc, un petit bijou de soixante minutes, un émerveillement éphémère devant des petits riens qu’on oublie trop souvent de regarder. Une volonté simple et pure de mettre en exergue le Beau, le Subtile et la Joie, notions fondamentales de notre humanité et si nécessaire au regard de la noirceur de certaines parties de notre monde.
Cela fait maintenant 23 ans que je vis entre Paris et le Japon. Durant les périodes de restrictions du Covid, une mélodie au piano a résonné par hasard à mes oreilles. Ce son a déclenché un flot de souvenirs vivaces de scènes vécues à Paris et de personnes que j'y ai rencontrées. Le Covid, en nous coupant de nos habitudes et de ceux qu’on aime, nous a rappelés l’importance des autres, mais aussi de tout ce que nous chérissons. En suspendant le temps, j’ai eu comme beaucoup le sentiment que tout peut s’effacer en un claquement de doigts. J’ai donc réalisé l’importance de graver dans ma mémoire des moments chéris dans la mélancolie et la tendresse de ce temps qui parfois s’étire et s’écoule négligemment.
Et le silence fait peur. Pourtant, demande-t-on à un peintre de parler ? En tant que peintre-mime et poète du geste, je livre ici mon regard sur des scènes parisiennes qui deviennent, à travers l’expression corporelle, des tableaux peints sur d'innombrables toiles, un émerveillement éphémère devant des petits “riens” qu’on oublie trop souvent de regarder, une volonté simple et pure de mettre en exergue le Beau, le Subtile et la Joie, notions fondamentales de notre humanité et si nécessaire au regard de la noirceur de certaines parties de notre monde.
Cependant, je ne sais pas peindre. C'est donc à travers l'art du geste que je m'applique à capturer l'essence de ces scènes attachantes et à les transformer en tableaux empreints de tendresse et de délicatesse. Dans mon atelier, j'ai d’abord créé une œuvre intitulée « Ambiance Dimanche », puis six autres histoires, dans lesquelles les mots sont libérés et où seul l’art du geste mis en scène de manière poétique prend tout son sens.
La poésie qui naît sous nos yeux n’est pas sans rappeler Baudelaire et ses Tableaux parisiens. Une “Invitation au Voyage” de 60 minutes...
Blanc de blanc, un petit bijou de soixante minutes, un émerveillement éphémère devant des petits riens qu’on oublie trop souvent de regarder. Une volonté simple et pure de mettre en exergue le Beau, le Subtile et la Joie, notions fondamentales de notre humanité et si nécessaire au regard de la noirceur de certaines parties de notre monde.
Cela fait maintenant 23 ans que je vis entre Paris et le Japon. Durant les périodes de restrictions du Covid, une mélodie au piano a résonné par hasard à mes oreilles. Ce son a déclenché un flot de souvenirs vivaces de scènes vécues à Paris et de personnes que j'y ai rencontrées. Le Covid, en nous coupant de nos habitudes et de ceux qu’on aime, nous a rappelés l’importance des autres, mais aussi de tout ce que nous chérissons. En suspendant le temps, j’ai eu comme beaucoup le sentiment que tout peut s’effacer en un claquement de doigts. J’ai donc réalisé l’importance de graver dans ma mémoire des moments chéris dans la mélancolie et la tendresse de ce temps qui parfois s’étire et s’écoule négligemment.
Et le silence fait peur. Pourtant, demande-t-on à un peintre de parler ? En tant que peintre-mime et poète du geste, je livre ici mon regard sur des scènes parisiennes qui deviennent, à travers l’expression corporelle, des tableaux peints sur d'innombrables toiles, un émerveillement éphémère devant des petits “riens” qu’on oublie trop souvent de regarder, une volonté simple et pure de mettre en exergue le Beau, le Subtile et la Joie, notions fondamentales de notre humanité et si nécessaire au regard de la noirceur de certaines parties de notre monde.
Cependant, je ne sais pas peindre. C'est donc à travers l'art du geste que je m'applique à capturer l'essence de ces scènes attachantes et à les transformer en tableaux empreints de tendresse et de délicatesse. Dans mon atelier, j'ai d’abord créé une œuvre intitulée « Ambiance Dimanche », puis six autres histoires, dans lesquelles les mots sont libérés et où seul l’art du geste mis en scène de manière poétique prend tout son sens.
La poésie qui naît sous nos yeux n’est pas sans rappeler Baudelaire et ses Tableaux parisiens. Une “Invitation au Voyage” de 60 minutes...
Équipe
Mise en scène, chorégraphie, interprétation | Shu OKUNO
Musique: Jordane Tumarinson
Scénographie: Nanako Ishizuka (Dominique Perrault Architecture)
Lumière: Marika NAKASA (KUKAN-KIKAKU)
Costume: Michiko KONO
Modiste: Yuki ISSHIKI (demure Amsterdam)
Conception visuelle: Chiho ICHIKAWA (C DESIGN)
Photographie: Mai TOYAMA
Captation vidéo: Kô ODA
Régisseur de plateau: Laurent FORGUES
Supervision de la traduction: Loic BOCENNO-GUENNEC
Texte: Marc BONNEL
Production: ÔBUNGESSHA by SHU OKUNO
En collaboration avec l'Atelier Thierry Sigg, Rinnai Corporation et le Centre national de la danse – CND
Durée: 1h
Première: Paris, FRANCE - Les 9 et 10 février 2023
Musique: Jordane Tumarinson
Scénographie: Nanako Ishizuka (Dominique Perrault Architecture)
Lumière: Marika NAKASA (KUKAN-KIKAKU)
Costume: Michiko KONO
Modiste: Yuki ISSHIKI (demure Amsterdam)
Conception visuelle: Chiho ICHIKAWA (C DESIGN)
Photographie: Mai TOYAMA
Captation vidéo: Kô ODA
Régisseur de plateau: Laurent FORGUES
Supervision de la traduction: Loic BOCENNO-GUENNEC
Texte: Marc BONNEL
Production: ÔBUNGESSHA by SHU OKUNO
En collaboration avec l'Atelier Thierry Sigg, Rinnai Corporation et le Centre national de la danse – CND
Durée: 1h
Première: Paris, FRANCE - Les 9 et 10 février 2023